Archives par catégories: Illustration

Les Presses du Bûcher (l’atelier)

Grosse fierté et grande joie: Les Presses du Bûcher, l’atelier que je bâtis depuis plus d’un an maintenant, est finalement achevé (si tant est qu’un atelier puisse être achevé un jour… disons pour être plus précise qu’il a atteint l’état que je visualisais quand j’ai commencé à le mettre en place).

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    Avalanche de dentelles

    Je me suis fait arracher deux dents de sagesse hier, après avoir eu la brillante idée de recevoir ma quatrième dose la veille au soir… Me voici donc moins sage, mais surtout engluée dans un état à la fois nauséeux et engourdi, où la seule activité à la portée de mon cerveau est celle-ci. En huit heures de travail, la plaque a progressé considérablement. J’en suis environ à 30 heures en tout. Je devrais finir demain, et pouvoir commencer à explorer l’impression avec ma nouvelle presse…

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      Sulfureur!

      «Suflureur» c’est le patois d’un des personnages du roman sur lequel je travaille présentement. Il l’utilise avec tout ce que porte de fureur, de charge charnelle et d’humour ce patois inventé. J’ai hâte que vous puissiez le lire. Hâte aussi que ses personnages retrouvent leur place à l’épicentre de ma vie.

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        IMPRIMER le coton à fromage

        Aux Îles-de-la-Madeleine, j’ai fait la rencontre de Paul Livernois, l’ancien propriétaire de ma presse à imprimer. Contrairement aux typographes, voire aux graveurs, Paul, en tant qu’artiste en arts visuels, s’est généralement servi de l’étape de l’impression comme d’un point de départ plutôt qu’un point d’arrivée. Ceux qui cherchent à créer des oeuvres sérielles désirent généralement que chaque exemplaire soit en tout point identique aux autres. Paul, au contraire, imprimait tout et rien, puis il utilisait cette impression comme point de départ à son oeuvre, en la complétant avec de l’encre et de la peinture à l’huile. Dans les prochains mois, je partagerai plus en détail son travail avec vous.

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          Linogravure: un accéléré de l’apprentissage en art

          J’avais envie de partager avec vous cette progression d’une version à l’autre car je trouve qu’elle illustre bien le processus de création littéraire également. On apprend et évolue en explorant, en acceptant de recommencer, de se tromper de chemin en attendant de trouver le bon. Il n’y a pas de pas perdus.

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          • Mirita Rodríguez7 novembre 2021 - 7h46

            Être insatisfait est propre à l’artiste.  Le résultat satisfaisant est accessible à quelques-uns,  mais le bonheur de l’oeuvre achevée est un privilège qui vous appartient. Alléluia!RépondreAnnuler

          Le grand écart

          Au coeur de ces deux projets: l’apprentissage de nouvelles techniques, de nouveaux procédés. Imprimer sur des presses de plus de 100 ans, fabriquer son propre papier, sculpter des dessins dans le linoléum, filmer en stabilisant l’image, enregistrer des pistes audio suffisamment claires pour créer des capsules de qualité: je dois comprendre et maîtriser des langages aux antipodes les uns des autres. Le très mécanique et archaïque d’un côté, le très numérique de l’autre. 

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            Femmes-jardins: première linogravure

            Ma formation à l’Atelier du Silence se poursuit, et d’une machine à l’autre, je deviens de plus en plus autonome (sans l’être pleinement encore, dois-je admettre). Vendredi dernier, j’ai travaillé à ma première impression de linogravure. Pendant les trois semaines précédentes, je m’étais refamiliarisée avec le médium et j’avais sculpté ma première plaque. L’objectif de la séance de cette semaine, c’était d’en faire un petit tirage, en y intégrant également du texte afin de voir de quelle manière les lignes de plomb et les gravures s’agencent et embossent le papier de manière différente.

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