Archives par catégories: Manuscrit

Pointe-Lévy

Ce projet, c’est mille fois plus qu’un livre, c’est la trace d’une amitié qui s’est approfondie au fil des pages, des caractères, et qui continue de grandir tendrement. Je suis tellement, tellement privilégiée d’avoir accès à cette sagesse et à tout ce savoir, je mesure pleinement ma chance chaque fois que nous nous retrouvons devant les presses à imprimer, Pierre et moi.

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    L’onomastique

    Il arrive cependant que je sois ma principale adversaire et que, devant le plateau de jeu, je bloque sur un élément simultanément essentiel et dérisoire, et que l’ensemble de l’écriture en soit désorganisée. Des aspects du texte m’échappent à moi-même et il me faut alors trouver des stratégies afin de contourner les barrières dressées par mon propre cerveau. Ces derniers mois, l’une des résistances que je rencontre concerne l’onomastique, et plus spécifiquement le nom de ma protagoniste.

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      L’Atelier du Silence

      Retrouver cette matérialité du texte, penser les mots dans le rapport très concret qu’ils entretiennent avec les matières – le plomb, le laiton, le papier, les encres, le bois –, en observer les machines et la mécanique, l’ingénierie, permet de ressentir l’écriture d’une manière différente, toute en textures et en sensations.

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      • […] pas ici, mais j’ai ensuite composé la ligne de plomb exactement comme je l’ai expliqué il y a trois semaines. La presse a été montée avec les aimants, et d’autres tirages tests ont été crées pour […]RépondreAnnuler

      • Pierre Grégoire23 septembre 2021 - 16h11

        Merveilleuse époque de l’art typographique. 
        Toute cette préoccupation à créer un document qui soit le plus agréable et lisible possible. 
        avec comme objectif de maintenir l’intérêt et le plaisir du lecteur.

        Ce plaisir disparu, victime de la médias sociaux où seule la vitesse de composition importe.RépondreAnnuler

      La bénignité du papier

      De cet exercice, celui de la main, celui des mots surgit sur la page par la main, naissent innombrables les idées. L’action débourre le texte, la bénignité du papier (quelle absurdité, dans un monde où les ressources sont comptées, ce devrait être l’inverse…) change tout. Comme si les mots manuscrits étaient plus sans conséquence, hors du « livre » ou de l’idée du livre, même si presque tous s’y retrouvent ensuite, rangés, organisés, polis.

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        Lancer lentement (et autres poupées gigognes de temps)

        J’ai décidé de vous glisser un mot des défis soulevés par cet autre projet en attendant de me plonger dans les articles qui concerneront la rédaction de la « La Plumeuse », parce que Plie la rivière soulève des enjeux intéressants également, entre autres en ce qui a trait à la concordance des temps.

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