Ça faisait quatre ans que la yourte était rangée, pliée dans un coin. J’ai créé ma chance : emprunté un terrain, callé des amis. Maintenant j’ai le privilège immense de vivre aux chandelles.
Oh oui! Lire et relire cette oeuvre qui ouvre grand sur les paysages. Particulièrement en ces temps d’enfermement, la poésie de Marie-Andrée Gill est comme un grand respire qui libère les poumons et rafraîchit le coeur.RépondreAnnuler
Magnifique texte très inspirant. Ça donne envie de lire et de relire les livres de Marie-Andrée Gill. Merci.
Oh oui! Lire et relire cette oeuvre qui ouvre grand sur les paysages. Particulièrement en ces temps d’enfermement, la poésie de Marie-Andrée Gill est comme un grand respire qui libère les poumons et rafraîchit le coeur.