
Cette enquête vestimentaire a quelque chose de très concret, mais également – bien sûr – de très romanesque. Dans le texte sur lequel je travaille présentement, qui s’intitule provisoirement «Peau de Sang» (autrefois, La plumeuse ou La Sauvagine), le conte de Peau d’âne (Perrault) joue un rôle prépondérant. Les vêtements y sont à la fois révélateurs des caractères et tromperies enfilées les unes par-dessus les autres.