Ce que j’aime particulièrement dans un livre, c’est tenter de percevoir le rôle que joue l’écriture dans la vie et la définition identitaire de son auteur. J’imagine qu’il faut y voir une sorte d’obsession : tout mon Exercice de vulnérabilité ne tente-t-il pas de déterminer à quel moment les mots cessent d’être une ombre surgit quelque part en soi pour devenir, enfin, un matériau malléable ?
Merci Audrée pour cette découverte. Cela me donne envie de lire La maison est vivante. Bien-sûr les maisons sont vivantes! Certaines plus que d’autres d’ailleurs. La mienne est une très vieille dame qui me raconte des histoires bizarres. Elle m’inspire et m souffle des mots.
Les maisons murmurent de ces choses, parfois! Je découvre avec délectation la parole des murs, ces derniers mois. Je suis heureuse de lire qu’il en va de même pour vous. Et la lecture du recueil sera nourrissante, je crois.